La forêt. Chap 10

Extrait n 24 de mon livre 

La mère des fillettes, consulta sa montre et fut étonné de voir qu’il était déjà cinq heures, ce qui signifiait qu’ils devaient déjà partir.

La maman de Chloé et Théa s’aperçut bien vite, qu’elle n’avait aucune idée de l’endroit ou elle se trouvait.

Elle avait perdu tout sens de l’orientation. (Bien que parfois, ce que l’on cherche est sous notre nez.)

Elle regardait nerveusement autour d’elle. Des arbres et encore des arbres à perte de vue. Des broussailles, hérissées d’épines les entouraient. Son regard trahissait son inquiétude. Essayant de prendre une voix rassurante, elle finit par dire.

« Bon, il faut retrouver le chemin maintenant.

On est perdu maman demanda Chloé.

Euh! oui, lui dit elle d’un ton laconique. »

La situation n’était guère rassurante.

La vision de tous ces arbres se ressemblant n’étaient pas d’un grand réconfort, de plus le vent devenait humide, frais, vif, soulevant autour de lui, les feuilles déjà tombées à terre.

Au moment ou Florent ouvrait la bouche pour demander si la voiture était encore loin, un joli petit animal, habile grimpeur aux yeux charmeurs et à la queue en panache, faisait l’acrobate de ces lieux.

Chloé et Florent s’écartèrent inopinément du sentier et s’enfoncèrent parmi les arbres de la forêt.

Le corps nerveux, léger comme l’air, l’écureuil fuyait d’arbre en arbre parcourant et entraînant les deux enfants à travers cette nature sauvage.

Publié dans : Non classé | le 29 août, 2007 |1 Commentaire »

La forêt. Chap 10

Extrait n 23 

Le lendemain, tout le monde prit place dans la voiture. le voyage, dura près d’une heure, il parut interminable pour nos trois amis. Florent, faisait parti de cette expédition. Au moins pas de risque de noyade.

Trente minutes plus tard; ils commencèrent à entrer au milieu des bois, qui couvraient toute cette nature, d’ou émanait une impression de force sauvage, que rien n’aurait su endiguer. Les rayons du soleil, réchauffaient à peine cette belle journée de fin d’automne. L’air était frais sans être froid. Le ciel était d’un bleu pur, un peu irréaliste. Des nuages, léger et aérien apportait une vague de douceur à ce paysage. Bercés par le chant des oiseaux, ici le temps paraissait s’écouler à un autre rythme. Et nul besoin d’être aventurier, d’avoir un sac sur le dos et de mesurer plus d’un mètre quatre vingt, pour en apprécier la beauté, le calme.

Leur mère raconta à ses filles et à Florent, que d’après une vieille légende locale, la déesse Déatoris et le dieu Phétis s’unirent pour créer une race pouvant apporter l’aide aux humains. Les elfes.

D’après la légende, la forêt cacherait à l’ombre d’immenses arbres magiques, dans lesquels habiteraient ces tribus d’elfes.

 

Publié dans : Non classé | le 29 août, 2007 |Pas de Commentaires »

Florent chap 9

Extrait n 22 

Peut être qu’un jour, je vous conterai une histoire monstrueuse emplie de bêtes terrorisantes, si cela m’arrive bien sûre.

Il y a peu de chance tout de même.

Mais, à bien y réfléchir, il y a dans ce monde, toutes sortes de monstres.

La situation était critique pour Florent.

Figé, tétanisé par la peur, les yeux écarquillés, Chloé guettait l’eau verdâtre toutes les dix secondes avec inquiétude. Rongée d’angoisse, elle commençait à s’affoler, sa bouche qui aimait sourire, avait perdu toute joie.

Jean pat s’aperçut, qu’il y avait seulement un mètre cinquante d’eau.

« Arrête de te débattre, c’est bon Jean pat, tu es un héros au prés des lecteurs.

C’est enfin, qu’il aperçut la silhouette de Florent nageant tant bien que mal. Il crut qu’il allait avoir une crise cardiaque. D’une main solide, il saisit son fils, le serrant très fort.

Publié dans : Non classé | le 28 août, 2007 |1 Commentaire »

Florent chap 9

 Extrait n 21

Son père, réagit de suite, sans même réfléchir, car dans une situation comme celle ci on ne réfléchit pas, sauta dans l’eau et fut prisonnier d’un poulpe géant venu de nul part.

La pieuvre se déplaçait en rampant. Il sentit les longs tentacules du monstre le frôler, puis, lui enserraient la jambe, essayant de l’attirer vers le fond. IL sentit ses genoux fléchir sous le choc. L’eau lui arrivait à présent au dessus de la tête, ses pieds s’enfonçaient dans la vase, le souffle lui manquait. Après un effort sur humain, il réussit à pivoter sur lui même, le tentacule se détendit, puis se rétracta. Il était libre de l’étreinte de la pieuvre.

Jean pat, savait des choses sur les pieuvres, comme leur capacité à s’étirer, ou encore leur impressionnant combat contre les murènes. Elle pouvait même changer la texture de leur peau et prendre la couleur de la pierre pour se camoufler. Il savait fort bien qu’il n’était pas de taille contre ce monstre marin. IL avait eu de la chance, de s’être débarrasser de l’étreinte du céphalopode.

Bon, tout ça c’est gentil et instructif, mais je garde le meilleur.

Je sais, l’histoire devient vraiment palpitante, mais tu risques d’être déçu, car il n’y a jamais eu de poulpe géant.

 

Publié dans : Non classé | le 28 août, 2007 |Pas de Commentaires »

Florent chap 9

Extrait n 20 

Il est difficile , d’écrire ce que ressentit son père à ce moment précis.

J’ai songé à faire apparaître, une sirène d’une beauté extraordinnaire au longs cheveux dorés, bref, qui sortirait Florent de l’eau comme par magie.

Mais il me semble que d’après les dires de Chloé, cela ne s’est pas exatement passé ainsi. Autant vous raconter la vraie histoire.

 

Publié dans : Non classé | le 28 août, 2007 |Pas de Commentaires »

Florent chap 9

Extrait n 19 

Un poisson effectivement, pointa une tête curieuse, ses nageoires ressemblaient à des voiles satinées, il portait une étrange capuche rouge, lui donnant un air de gaieté.

Dés qu’il aperçut l’hameçon, il replongea. On entendit même l’eau glauque clapoter. Nous étions bien en présence de vie aquatique.

Florent se pencha afin de voir de plus près, son regard était attiré par les algues filamenteuses à la surface de l’eau.

Jean pat, leva la main comme pour prévenir de toute objection.

Mais, il n’eut même pas le temps de lever la main, en quelques secondes Florent avait disparu sous les eaux.

Publié dans : Non classé | le 28 août, 2007 |Pas de Commentaires »

Florent chap 9

 Extrait n 18

Florent est un petite camarade de Chloé, il est agé de neuf ans comme notre petite amie que vous connaissez bien maintenat.

C’est un garçon solide et résistant, malgré ube apparence chétive. Il n’est pas spécialement bagarreur, mais il ne faut pas le chercher. Il adore faire des farces, montrant ainsi son côté rusé. Il vit un peu dans l’illusion. Il est tête en lair et ne réfléchit pas forcément au conséquense de se bêtises.

Alors comme je disais, Chloé, Florent et son père surnommé Jean pat, et non Jean pat le mille pattes, cae effectivement je pourrais vous conter les aventures de mille et une patte, mais ceci ne fait pas partie de l’histoire.

Ils partirent donc ensemble à la pêche sur le port de Toulon.

Paraît il, que lorsque les choses commencent à aller mal, elles vont de pire en pire.

 

Publié dans : Non classé | le 28 août, 2007 |Pas de Commentaires »

Théa et Salem Chap 8

Extrait n 17 

Théa, dans la salle de bain, lave Salem avec beaucoup de difficultés, car les chats n’aiment pas l’eau.

En dépit de toutes ses tentatives, il n’arrivait pas à s’échapper des bras de la fillette.

« Avec du sampoing à la fraise, zepznse que tou sentiras bon.

Allez,  un po, derrière z’ oreilles, et sour  la bouche…

Un petit coup dans le miroir et le voici tout propre. Il faut le sécher maintenant car il est tout muoillé.

En fait, c’est plutôt amusant se disait la fillette.

Théa tenant toujours Salem, le mit sur le poêle à pétrole pour le sécher et le réchauffer. Naturellement, Salem proteste en crachant, il fit un bond et sauta à terre, profitant pour filer se cacher.

Vite séché à présent.

Salem est dans un coin, il est tout penaud, Théa aussi.

Finalement, il n’avait que quelques poils de roussis, mais il a bien vite oublié sa mésaventure.

Quelques heures après, il rampait dans le jardin, sans bruit, de la même manière que ses cousins sauvages, afin d’attraper quelque chose qui ressemblait à un papillon.

Chloé cru reconnaître une fée.

Il faut savoir, que les rencontres avec les fées sont très rares,^pourtant elles sont très nombreuse. Tous les jardins en abritent des centaines. Très prudente, elles sont difficiles à voir. Elles détestent la curiosité maladroite des hommes, bien sûr certains peuvent les voir, comme les enfants. Les fées, ont une relation particulière avec le monde enfantin, car ceux ci ont le pouvoir de tuer les fées par simple négation. Les fées ne montrent leur véritable nature qu’aux coeurs purs et restent invisibles pour le plus grand nombre de mortel.

Notre chère fée avait voulu jouer un tour de passe à Salem, en s’amusant à modifier subtilement le décore du jardinet pour égarer le chaton, cela s’appelle se faire taquiner.

Au cours des semaines, des mois qui suivirent, des signes évidents de magie se manifestèrent un peu partout dans le jardin.

Un paysage féerique, apparaissait n’importe ou par surprise, dans toute sa splendeur, et disparaissait aussitôt.

Publié dans : Non classé | le 28 août, 2007 |Pas de Commentaires »

Théa et Salem chap 8 du livre

Extrait n 16 

 

C’est toujours une réussite de posséder une réussite de la nature.

Comment, résister au charme de quatre chatons fragiles et sans défenses.

Leur mère avait décidé de les garder tous les quatre. De vrais petits anges, jusqu’à ce qu’ils apprennent le mot bêtises! Casser, monter, sauter sur vos jambes, leur passe temps favoris.  Au bout deux mois, Socquette, Potiron et ficelle s’assagir, Salem lui se laissa aller en sa présence diabolique.

La curiosité des chats est sans limites. Mais qu’est ce qui les pousse à tout explorer?

Ce qui poussait, sans aucun doute notre ami Salem, en quête d’un quelconque morceau de nourriture, c’était la délicate odeur de poisson qui se dégageait de la cuisine.

Particulièrement malicieux, il était parti en gôuter un peu. C’est bon car le chenapan en reprend.

Théa aperçut Salem

« Vilain Salé! tou mérites oune fessée, tou fais touzours de bêtises. Pouah! tou sens le poisson, il faut quo ze te lave.

L’histoire ne s’arrête pas là, prépare toi au pire.

 

Publié dans : Non classé | le 28 août, 2007 |Pas de Commentaires »

Chloé et plume chap 7

Extrait n15

 

C’est ainsi que tous les hivers, dans le cadre de leur projet, à tour de rôle, les enfants nourrirent les oiseaux après les cours de classe.

Introduisant la main dans la cage, Chloé prit alors l’oiseau dans une main. La liberté au fond des yeux, l’oiseau se laissa prendre, comme s’il savait déjà qu’il allait retrouver son paradis.

La fillette ouvrit la main, et l’oiseau prit son envol, déployant ses ailes à la manière d’un équilibriste, et se moquant bien des interdits, il virevolta loin dans cette immense fourmilière qu’était le ciel. Plume poussa un cri métallique et disparu.

L’envol de l’oiseau fut suivi d’un silence des plus pesant.

 Cette aventure emplissait néanmoins le coeur de la fillette d’une certaine satisfaction, car elle avait aujourd’hui sauvé une vie.

Publié dans : Non classé | le 27 août, 2007 |Pas de Commentaires »
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